l'amour

Mes chers amis, voici ces quelques mots afin de vous inciter à l’amour, un amour inconditionnel, sans attente, sans récompense.

 

Réalisez-vous que l’amour, le VRAI, est la seule chose en ce bas monde qui, même utilisé en abondance, ne s’érode jamais, ne se plie nullement sous le poids de la vie et ne s’émousse aucunement à force de pourfendre avec droiture et intégrité le fardeau de nos peines ?

Il est là, en vous, à disposition, je dirais même à profusion.

J’ose aujourd’hui affirmer qu’une personne en pleine conscience de ses capacités d’amour, associée à une remise en question personnelle, se trouve à l’abri de la misère qu’engendre notre monde. Car les décisions qu’elle prendra émaneront toujours du cœur, et ce dans les pires situations auxquelles elle se trouvera confrontée.

Citons simplement un exemple émotionnel cataclysmique nous touchant tous un jour ou l’autre. Je parle bien évidemment du décès d’un parent, d’un proche, ou pire d’un enfant. Ce jour marquera inévitablement notre vie. Accablés de chagrin et abattus de tristesse, nous pourrons néanmoins compter sur ces moments  privilégiés d’amour, passés sur cette terre à leur côté. Accomplis dans l’intensité d’une affection quotidienne et sincère, ces derniers, guideront sans le moindre doute ces personnes défuntes dès la séparation définitive de l’essence vitale animant leur corps physique. Elles passeront ainsi un à un les plans subtils, les dirigeant vers la paix et le repos de leur âme dans le plan divin. De surcroît, en agissant de la sorte, nous ne connaîtrons jamais ce redoutable et accablant regret de ne jamais leur avoir déclaré ou démontré nos sentiments.

Rien ne sert d’être un saint ou de changer totalement notre vie, car ces preuves d’affection peuvent se prodiguer sous une multitude de formes (ex : une mère préparant inlassablement les repas pour sa famille). Sans vraiment s’en rendre compte, cette personne aura donné sa part d’amour  par son dévouement. Reconnaissons-lui ces actes, trop souvent effacés par les habitudes du quotidien.

Le linge est propre, rangé dans l’armoire.

Le repas est sur la table.

Mais où sont donc les remerciements ? Jetés eux aussi dans le panier au milieu du linge sale ?

N’oubliez pas que ce lien étroit que nous aurons construit et entretenu durant toute la vie de ces personnes sera scellé éternellement entre notre âme et la leur.

 

Mes chers amis, nous vivons malheureusement  une époque terrible. Le juste est bafoué et le fourbe glorifié. Le chemin vers le pouvoir est d’une grande accessibilité. Il suffit simplement de trahir notre nature profonde, à savoir l’honnêteté et l’amour transcendant.

 

Vous me direz que ce discours rappelle à s’y méprendre l’homélie d’un prêtre le jour du Seigneur, et se trouve donc tout bonnement inapplicable dans la vie de tous les jours. Pourtant je ne suis pas prêtre, mon existence est celle de tout individu lambda, avec tous les problèmes que cela incombe. En revanche, je ne vous conseillerai pas de tendre l’autre joue, mais au contraire de ne jamais vous laisser rabaisser plus bas que terre par qui que ce soit, pourvu que vous n’ayez rien à vous reprocher. De même, soyez passifs,  dévoués et attentionnés envers les personnes méritantes, car ces dernières vous respectent.

Comme vous ces personnes, suivent ce chemin qui ne peut être entrepris qu’avec une prise de conscience personnelle et des remises en question  pas toujours aisées. N’oubliez pas que chaque homme, femme, enfant, animal, a le droit de vivre une existence normale, libre de ses choix sur cette terre. Ce ne sont que des règles évidentes, rarement appliquées, mais essentielles afin de réussir à vivre ensemble, en pleine santé mentale, physique et par conséquent, rester en accord avec notre énergie primordiale.

Rappelez-vous, l’énergie primordiale est cette étincelle de lumière accordée à toute créature à la naissance lors de l’explosion d’énergie constituant l’embryon au sein même de l’utérus maternel. C’est en quelque sorte le scénario du Big Bang universel qui se joue à chaque naissance, ramené à une échelle infiniment petite.

L’univers au cœur de chaque femme, porteuse du ferment de la vie : n’est-ce pas une belle approche de la biologie énergétique ?

 

Le respect dont j’ai parlé se ressent dans toutes les religions. Ces dernières ont pour moi un but bien précis ; entretenir l’amour du vivant sur notre belle planète. Les études théologiques, dont le rôle est de décortiquer les évangiles bibliques, les prières, les psaumes apocryphes ou émanant directement de révélations de prophètes connus, qu’ils  fussent de professions coranique, hébraïque, bouddhique, catholique…. n’apportent, pour moi, pas la vérité ultime. Je pense même qu’elles ont malheureusement la mauvaise habitude de nous diviser, ou plutôt, nous cloisonner dans des modes de pensée.

Sans preuves concrètes, je me permets d’avancer qu’il est malheureusement probable que l’homme ait su utiliser les écrits sacrés  afin de spolier les peuples miséreux, toujours dans cet éternel but de soumettre la populace à des taxes honteuses prélevées sans scrupule sur ses propres cultures, récoltées à la sueur de son front.

Toutes les guerres de religions, menées par le puissant et dévastateur glaive du clergé et autres institutions religieuses, enchevillées à cette haute noblesse, capricieuse et désinvolte, auront, je suppose, entaché ces écrits originaux si précieux.

Je vous pose une question toute simple, qu’un enfant poserait avec ses propres mots : peut-on imposer l’amour par les armes ? 

Ah l’évangélisation! Quel mot merveilleux ! Il cache pourtant les plus horribles massacres jamais perpétrés depuis des centaines d’années envers des innocents, ayant pourtant déjà trouvé amour et foi.

 

Qu’on se le dise, l’amour n’est pas une invention de l’homme moderne. De quel droit et avec quelle prétention, ces institutions religieuses ont voulu répandre leur savoir à coup de fouets, de poudre, à la menace du bûcher, sans même tenir compte des acquis des autres?

 

Maintenant, dites-moi par quel miracle un pape, un diacre, un archevêque paré de soie et tout cousu d’or, logeant dans de somptueux sites tel que le Vatican,  pourraient-ils comprendre une once de la vie menée par des indigents vêtus de hardes, et agonisant de faim dans des bidonvilles ?

Où se trouve la justice ?

Pas dans cette réalité, cela est une certitude absolue.

Pourquoi des hommes tels que l’Abbé Pierre sont-ils banalisés, oubliés, relégués à des révolutionnaires? Ne sont-ils pourtant pas la lumière dans les ténèbres? Le mimétisme entre cet abbé et les pauvres des rues est tout de même beaucoup plus parlant que la vie doré d'un pape. De plus, je pense que Monsieur tout le monde préférerait payer un impôt en faveur de l’infortune du monde, plutôt que l’impôt sur le revenu, les taxes foncières, etc., enrichissant inlassablement les mêmes personnes.

 

 

Pour moi, en toute humilité, la seule et vraie religion est celle du cœur. Il suffit d’ouvrir les yeux et de cette façon bannir toutes pratiques religieuses rabaissant femmes, enfants, hommes et animaux. J’imagine que les personnes athées vont probablement changer de site en me lisant, mais ce n’est pas grave. Passez votre chemin si vous le désirez. Je fais simplement valoir mon droit d’expression (sourire). Une évidence est là et nous crève les yeux. Il est évident que toute cette machinerie harmonieusement orchestrée est l’œuvre d’une puissance et d’une intelligence incommensurable.

Quasiment tous les plus grands scientifiques de notre ère nous ont affirmés, avec conviction, qu’une telle perfection ne pouvait émerger du néant.

 

 Même en retenant la loi évidente de l’évolution, comme le décrivent les scientifiques (paléontologues, anthropologues, ethnologues…). De telles prouesses techniques n’auraient pu avoir lieu sans recevoir ce souffle vital donnant vie à cette énergie intelligente, capable de se construire, de se régénérer, de se transformer.

 

Je reçois chaque jour des personnes en souffrance, pour des séances de Reiki Usui. Les guides de la personne sont présents ! Je les ressens, nous communiquons. D’où viennent t-ils, si ce n’est de ce monde invisible ne faisant pourtant qu’un avec notre monde matériel ? Car les lois de l’énergétique démontrent que la matière est simplement de l’énergie densifiée, compactée, vibrant à des fréquences assez basses, rendant ainsi ces dernières visibles et accessibles au toucher.

 

Néanmoins, je suis quelquefois agréablement surpris de constater  qu’il y a de plus en plus de personnes qui tentent de palper ce monde dans toute sa splendeur.

Si seulement nous connaissions, un milliardième de ce qui constitue vraiment ces particules d’énergie intelligentes….

Nous savons déjà, grâce à la bioénergétique, qu’elles contiennent la mémoire du temps. Chaque particule renferme en elle la mémoire exacte de ce qui s’est produit depuis la nuit des temps.

 

Alors chers lecteurs, réjouissez-vous d’être des êtres d’exception, et je vous en prie, dès aujourd’hui, laissez cette carapace de rancœurs, de colères et de jugements se fendre petit à petit pour laisser éclater votre richesse intérieure. Chaque personne regorge en abondance de cet amour inavoué et inexploré, même les pires monstres de notre temps. Oh non, je ne les excuse pas, loin de là ! Je pense simplement qu’ils ont reçu une telle éducation de haine qu’ils ont été, par conséquent, déportés aux antipodes même de leur vraie nature.

 

 

Si vous acceptez d’adhérer à l’idée qu’il y a une toute puissance créatrice, alors imaginez-là en chaque particule élémentaire, dans une goûte d’eau, dans le rire de votre enfant, dans une pensée, mais en aucun cas dans un lieu spécifique.

La vérité c’est que les druides et les templiers connaissaient les secrets de notre terre mère mieux que personne ne les connaîtra aujourd’hui.

 

Ils travaillaient en accord avec ces lois de physique cosmo-tellurique et métaphysique, afin d’ériger des églises, des cathédrales de façon tout à fait précise dans le but de proposer aux pénitents, aux prieurs, aux pèlerins, ainsi qu’aux personnes malades et souffrantes ces forces régénératrices, élevant ainsi leurs taux vibratoires considérablement, et leur ouvrant des plans supérieurs de conscience pourvu que leur demande soit faite en conscience et que leur âme soit pure.

Voici le secret des constructeurs de ces majestueux édifices.

Ensuite vint le temps du Moyen âge, des royautés successives. L’or et les transformations architecturales firent leur entrée au gré des modes séculaires. Ils détruisirent le travail d’orfèvre des sculpteurs des premiers âges et, par ce fait, désordonnèrent toutes ces ondes de formes et effets énergétiques de cette merveilleuse alchimie constituée de pierres, de formes  et de couleurs harmonisantes. Ces secrets furent très vite oubliés, engloutis dans les abysses ténébreux de l’ignorance. Certaines pyramides par exemple furent à moitié démolies afin de construire le port du Caire. Quelle ineptie !

Voici l’arrivée du paraître, du superflu, du faux, du toc. Malheureusement, cette période n’est pas terminée. Je dirai même qu’elle est à son apogée. La spiritualité actuelle des gens consiste à regarder des émissions de télé-réalité, à pleurer sur leur sort, à s’intéresser à une politique dévorée  par cette gangrène du profit personnel, prêchant pourtant inlassablement la bonne conduite à tenir, mais tout cela sonne creux.

Si vous saviez ce que l’on découvre quand on étudie énergiquement ces politiciens ! Cela fait peur.

Soyez différents, cassez ce moule qui nous englobe tous, sans pour autant devenir des reclus de la société. Apprenez d’un enfant tout ce dont il est possible d’apprendre ; posez-vous les questions qui déterminent notre avenir ; arrêtez-vous par exemple une nuit d’été lors d’une promenade avec vos enfants  dans un champ d’herbes hautes, couchez-vous au milieu du trèfle et de la luzerne et regardez ce ciel étoilé, illuminé par les myriades d’étoiles et de poussières stellaires constituant la voie lactée et voyez la curiosité exacerbée dans leurs yeux. Montrez-leur des choses simples, tels que la grande Ourse, la constellation de la Lyre, Orion, Cassiopé,  sentez la brise tiède du soir charriée la fragrance des foins fraîchement coupés et embaumant vos effets. Répondez à leurs questions fusant à tout va sur la vie, expliquez leur d’où ils viennent, où sont-ils aujourd’hui et où vont-ils. Avec un sourire intérieur, vous vous direz que ces petits chérubins enseigneront peut-être ces mêmes choses à leurs propres progénitures en parlant d’un père ou d’une mère aimant(e) et fier(ière) de ses enfants.

Voici, je pense, la façon de construire l’amour, de s’approprier ses sentiments, un lieu afin d’y laisser de tendres souvenirs.

Je pense que nous ne pouvons pas sauver le monde, car nous sommes trop petits  face à nos décisionnaires,

Ces géants de la finance, et accessoirement dirigeants de nos pays, dépensent des sommes colossales pour installer des satellites dans l’espace (plus de chaînes de télé, espionnage industriel et militaire, recherche spatiale), et doter nos armées des armes les plus sophistiquées et les plus destructrices. Ne feraient-ils pas mieux de nourrir ces millions de bouches affamées et de tout miser sur la médecine afin d’éradiquer toutes maladies ?

 Ces seigneurs des temps modernes dorment sans problème sur leurs deux oreilles. Ils sont galvanisés contre l’agonie du peuple.

A notre humble échelle, accordons-nous simplement un peu de temps et d’affection mutuellement. Nous pourrons alors créer des zones d’amour telles des cultures parsemées dans un champ, qu’il faudrait faire grandir jusqu’à les faire se rejoindre. Alors, faisons ce que l’on peut, cela sera déjà un bon début. Et oui, le travail d’amour est un labeur de fourmis, minuscule, interminable, mais tellement prometteur pour notre espèce.

 

L’enfer  existe-t-il ?

Pour moi, ce dernier n’est simplement que l’absence de bien, comme l’avait si bien démontré Einstein devant son maître d’école.

Ma transition est alors toute faite : remplissons notre vie d’amour pour ne laisser plus aucune place au mal.

Je vous mets au défi de commencer dès aujourd’hui et sans plus attendre.

 

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